Au premier échiquier, Jean-Pierre a accepté le gambit proposé dès le second coup par son adversaire. Il n’a jamais pu reprendre son pion et avec deux pions de moins en finale, s’est résolu à abandonner.

Au second échiquier, l’adversaire de Jean-Charles sacrifie rapidement un fou contre deux des pions de son roque en espérant faire aboutir son attaque de mat. Mais le peu de pièces participantes limitait ses chances de succès. Jean-Charles échange le Cavalier dangereux puis les Dames et file tranquillement vers une finale gagnante. Finalement, après un calcul erroné son adversaire préfère abandonner plutôt que de perdre une Tour en évitant le mat.

Au troisième échiquier, je sors, comme d’habitude, de l’ouverture avec difficulté en offrant un pion gratuitement. Mon adversaire ne profite pas du gain matériel et d’une position largement gagnante. Quelques imprécisions de sa part, et quelques combinaisons de ma part me permettent de sortir la tête de l’eau. En finale, mon adversaire choisit la plus mauvaise option et j’arrive à aller à Dame sur un échec juste avant lui. Il abandonne quelques coups plus tard avant d’être maté.